Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre Lamy & Associés ?

C’est un cabinet de référence du droit des affaires qui est à l’image de son fondateur, il force le respect. Son ouverture et son dynamisme, à la fois dirigés vers de grandes entreprises et vers les écosystèmes des start-up, est très stimulant.

Pouvez-vous nous décrire votre parcours ?

Après un DJCE à Lyon 3, et une fois le CAPA obtenu, j’ai passé plusieurs mois chez Miller Thomson à Montréal. Puis, j’ai collaboré déjà chez Lamy jusqu’en 2007. J’ai ensuite été associé au cabinet Jakubowicz Mallet-Guy avant de revenir au cabinet Lamy & associés.

Qui a le plus influencé votre carrière ?

C’est incontestablement Anne Covillard. C’est auprès d’elle que j’ai débuté, et que je retrouve aujourd’hui. Au-delà de son professionnalisme, elle a mille idées et donne aux autres envie d’en avoir.

Quel est votre meilleur souvenir dans votre carrière ?

Plaider au Conseil constitutionnel en matière de droit de la publicité ; le droit constitutionnel prend désormais une vraie place concrète dans les affaires.

Quels sont vos domaines de compétences ?

La concurrence, la distribution et le droit du marketing, à la fois en conseil et en contentieux, qu’il soit civil ou pénal.

Quelles sont, selon vous, les actualités marquantes de ces dernières semaines dans ces secteurs d'activité ?

La généralisation et l’accélération de la transformation numérique. Ce n’est pas une branche du droit ou de l’économie qui changent, ce sont la façon de faire du commerce et les concepts juridiques eux-mêmes.

Qui conseillez-vous ?

Des acteurs du numérique et de la distribution, mais aussi des fédérations professionnelles et des industriels.

Quels sont vos objectifs pour ce cabinet ?

M’inscrire dans une continuité collective et conserver la vitalité d’une équipe de droit économique en l’adaptant aux nouveaux besoins des clients.

Propos recueillis par Arnaud Dumourier