Brown Rudnick renforce son équipe restructuring à Paris.
Le cabinet d’avocats international Brown Rudnick LLP annonce l’arrivée au sein de son bureau parisien de Géraldine Astrup. en tant que counsel, au sein de l’équipe dédiée au restructuring et pilotée par Didier Bruère-Dawson.
Cette arrivée permet de renforcer l’expertise du cabinet dans le traitement des dossiers d’accompagnement et de financement des entreprises en difficulté.
« Les problématiques de restructuring vont au-delà de la renégociation des plans de financement. Désormais, il s’agit d’accompagner les entreprises dans une perspective plus large, afin de les aider à bâtir un nouveau plan de marche avec leurs partenaires financiers, explique l’associé Didier Bruère-Dawson. Avec l’arrivée de Géraldine au sein du cabinet, nous nous donnons les moyens d’être encore plus présent des deux côtés de la Manche et de déployer ce savoir-faire. »
Géraldine Astrup, 32 ans, conseille débiteurs, investisseurs et créanciers dans le cadre de procédures amiables ou judiciaires visant les situations de crise de l’entreprise. Sa pratique couvre tant le conseil que les actions contentieuses.
Elle accompagne également des investisseurs français et étrangers dans le cadre de leurs projets de reprise de sociétés françaises en difficulté.
Elle est titulaire d’un master 2 en droit européen des affaires, obtenu à l’université Paris-II Panthéon-Assas, ainsi que d’un mastere droit et management international de HEC / ESCP Europe. Inscrite au Barreau de Paris, elle parle couramment le français, l’anglais et l’espagnol.
Après avoir débuté sa carrière en tant que collaboratrice au sein de SJ Berwin (devenu ensuite King & Wood Mallesons), où elle a exercé pendant près de 5 ans, Géraldine a rejoint le bureau parisien de Dentons en septembre 2014 – où elle officiait jusqu’à présent.
Au cours de ces 8 années, elle a développé une expertise dans le traitement des dossiers d’entreprises en difficulté, tant pour le compte d’investisseurs financiers spécialisés dans le retournement d’entreprises que pour des groupes industriels désireux d’inclure dans leur stratégie de croissance externe l’intégration de sociétés à redresser.
Arnaud Dumourier (@adumourier)
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