Qu’est-ce qui vous a conduit à créer le bureau parisien cabinet Addleshaw Goddard ?

Tout d’abord, c’est toujours enthousiasmant de participer à un nouveau projet.
Ensuite, nous ne partons pas de zéro. En effet, le cabinet existe depuis très longtemps, et nos confrères de Hambourg, de Düsseldorf et de Frankfort provenant également de BCLP ont rejoint Adddleshaw Goddard il y a deux ans.    

Quelle est votre ambition ?

Nous cherchons à nous développer avec l’ambition de doubler de taille d’ici 18 mois. Ce n’est pas une priorité liée à la croissance, mais les besoins que nous avons identifiés nécessitent un spectre plus large. Nous souhaitons nous renforcer en financement, en concurrence et à conforter notre équipe sociale.            
Par ailleurs, nous avons également une approche sectorielle. 
Nous cherchons à mettre en place des solutions variées afin de répondre aux besoins de nos clients.

Quelle est la spécificité d’Addleshaw Goddard sur le marché ?

Nous ne pensons pas révolutionner le monde juridique. Nous faisons du M&A, du social, du financement, de la compliance, du pénal des affaires etc…
Ce qui nous caractérise, je pense, c’est notre collectif : nous cherchons à privilégier le collectif, à identifier les gens qui vont vraiment travailler en équipe. Nous voulons des personnes qui savent vivre ensemble, des avocats qui sont confiants dans leur business plan et leurs clients.
Enfin, nous souhaitons garder nos jeunes talents. Nous avons coopté en tant qu’associés Cécile Terret, David Père et Mathieu Taupin parce que ce sont des personnes en qui nous croyons depuis longtemps, et c’est une façon de leur donner les moyens de développer leur activité au sein du cabinet.

Propos recueillis par Arnaud Dumourier (@adumourier)