Rejet des recours des oppossants à la construction de l'aéroport de Nantes. Le groupe Vinci assisté par Kalliopé.
Le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes (Nantes) fait l’objet de nombreuses procédures contentieuses depuis près de 15 ans.
Après des recours dirigés contre la déclaration d’utilité publique de ce projet, contre la concession conclue entre l’Etat et la société Aéroports du Grand Ouest (filiale du groupe Vinci)
portant notamment sur le financement, la construction et l’exploitation de ce nouvel aéroport, et contre les différentes décisions d’expropriation, les autorisations environnementales du
projet (autorisations « loi sur l’eau » et dérogations « espèces protégées » ) et la déclaration d’utilité publique portant sur des travaux d’amélioration de voirie ont été attaquées par des
opposants au projet (notamment des associations de protection de l’environnement).
Le 17 juillet dernier, par 14 jugements, le Tribunal administratif de Nantes a rejeté l’ensemble de ces recours tout en imposant une prescription complémentaires aux autorisations "loi sur l’eau" tendant à réduire la superficie des places de stationnement de certains des parkings du futur aéroport.
Dans ces contentieux, Kalliopé (Jocelyn Duval et Camille Billmann) assistait et représentait la société Aéroport du Grand Ouest, Lexcap (Jean-François Rouhaud et Publijuris (Antoine
Plateaux)) représentaient l’Etat et certains des opposants étaient représentés par Antelis (Thomas Dubreuil) ou par Sébastien Le Briero.