Fabrice de La Morandière : « J’envisageais depuis un moment de rejoindre une structure telle que Moncey : ambitieuse et très entrepreneuriale »

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Le Monde du Droit a interrogé Fabrice de La Morandière à l'occasion de son arrivée au sein du cabinet Moncey Avocats en tant qu'associé.

Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre Moncey ?

Après de nombreuses années passées dans de grandes structures internationales, j’envisageais depuis un moment de rejoindre une structure telle que Moncey : ambitieuse et très entrepreneuriale. Certes, j’ai eu des propositions de grands cabinets – internationaux ou français – mais Moncey m’attirait beaucoup plus. J’avais envie de rejoindre un cabinet dynamique et agile, composé d’avocats formés à l’excellence des grandes maisons internationales, avec un mindset très positif et disposant de toutes les expertises requises par nos clients sur le marché du Corporate Finance.

Moncey a déjà réussi en très peu de temps à prendre une place majeure sur le marché du PrivateEquity: pas une semaine ne passe sans un deal porté par Guillaume Giuliani ou Marie-Victoire James. Je suis très enthousiaste à l’idée de les rejoindre ainsi que mon ami Frédéric Pinet et le reste de l’équipe pour les aider à poursuivre cette croissance notamment sur les dossiers de gouvernance et de fusions-acquisitions.

Quelle est votre valeur ajoutée pour Moncey ?

Après 30 années en Corporate Finance, dans de grands cabinets, je tâcherai d’apporter à Moncey mon expérience des dossiers et situations complexes, pour pousser le cabinet à asseoir sa place sur le haut de bilan. En ce sens, mon arrivée s’inscrit dans la lignée de celle de Pierre-Alain Bouhénic en restructuring en début d’année.

Je crois que ma valeur ajoutée est fondée sur mon expérience, que je souhaite également partager avec les avocats plus jeunes qui aspirent à être formés par des avocats qui ont ce savoir-faire des dossiers compliqués aux enjeux multiples et variés.

Mon réseau, tissé au fil des ans, solide et divers – aussi bien des corporates que des fonds ou des banques d’affaires– est un atout supplémentaire pour le cabinet et me permettra je l’espère de contribuer à consolider l’écosystème de Moncey.

Quelle est votre ambition pour Moncey ?

Moncey, dans son évolution naturelle, a commencé à se positionner sur des opérations de plus en plus importantes : ECF Group, l’un des principaux deals Large Cap du 1ᵉʳ semestre, ou encore la sortie de Fimalac du Groupe Barrière. L’objectif, avec l’ensemble des équipes corporate, financement, fiscalité, est d’être de plus en plus présents sur ce genre d’opérations.

Nous souhaitons tous accroître notre place sur le marché du corporate finance, notamment en consolidant une position bien acquise sur le Private Equity – près de 30 fonds sont des clients de Moncey – mais aussi en allant encore plus loin, pour chercher d’autres opérations encore plus structurantes.

Propos recueillis par Arnaud Dumourier (@adumourier)


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