King & Spalding a représenté bénévolement Paul Watson, militant écologiste et fondateur de la Sea Shepherd, dans sa lutte contre une demande d'extradition formulée par le Japon.
Paul Watson a été détenu au Groenland au début de l'année à la demande du Japon, sur la base d'un mandat d'arrêt vieux de dix ans lié à des événements survenus en 2010, allégations qu'il a toujours niées. À la suite d'arguments concernant les problèmes de procédure entourant la demande d'extradition et l'impact indu d'une affaire remontant à 14 ans, Watson a été remis en liberté après la décision du Danemark de rejeter la demande d'extradition du Japon.
King & Spalding a représenté Watson tout au long de la procédure, sous la direction de Jean Tamalet, associé à Paris, qui a recruté et géré une équipe transfrontalière d'avocats de différentes juridictions pour soutenir l'appel à l'extradition de Watson. Les autres avocats impliqués étaient François Zimeray, Wiliam Bourdon, William Julié, Rachel Lindon, Marion Crecent, Emmanuel Jez, Jonas Christoffersen, Julie Stage et Finn Meinel.
« Nous sommes honorés d'avoir travaillé au nom de M. Watson pour garantir sa liberté et sa protection en vertu des normes juridiques internationales. La décision du Danemark reflète l'importance de maintenir la justice lorsque les circonstances d'une affaire soulèvent des considérations procédurales et humanitaires évidentes. Je suis également très reconnaissant aux autres avocats qui ont offert leur soutien pro bono pour garantir que nous obtenions cette victoire importante pour notre client » commente Jean Tamalet.