L’acquisition d’Ascoval Saint-Saulve était notamment conditionnée à la reprise de l’usine d’Hayange (Moselle), dont le gouvernement avait lié les sorts, ainsi qu’à l’autorisation de l’opération par le Ministère de l’Economie au titre du contrôle des investissements étrangers. L’aciérie Ascoval utilisera de l'acier recyclé, y compris de la ferraille récupérée, pour approvisionner l’usine d’Hayange, créant ainsi une entreprise ferroviaire française intégrée « GREENSTEEL ».
Spécialisé dans la production d’acier, Liberty Steel Group, branche industrielle du groupe GFG Alliance dirigé par Sanjeev Gupta, est l’un des dix premiers producteurs d’acier au monde (hors Chine), avec une capacité totale de laminage de plus de 18 millions de tonnes. Il emploie 30.000 personnes réparties dans plus de 200 sites situés sur quatre continents.
L’équipe M&A de Liberty Steel Group était composée de Jean-Noël Hénon et Philip Vivier.
L’équipe de Winston & Strawn qui conseillait Liberty Steel Group rassemblait Stéphane Sabatier (associé) et Annie Maudouit-Ridde (collaboratrice senior).
Paul Hastings (Guilhem Bremond, Magali Bertrand et Camille Paulhac), qui conseillait Liberty Steel Group dans le cadre de la reprise de l’usine d’Hayange, est intervenu sur les aspects antitrust et autorisation des investissements étrangers.
Darrois Villey Maillot Brochier (Pierre Casanova, Sarah Rodriguez-Lemercier et Martin Lodeon) conseillait Olympus Steel.