Pour sa première levée de fonds, le leader français des robots conversationnels (chatbot, callbot, voicebot), dydu vient de compléter un tour de table de 6,3 millions d’euros pour assurer son développement technologique et commercial. Une opération réussie après une Vendor Due Diligence (VDD) réalisée par d’Ornano+Co et confié par La Banque d’affaires Edmond de Rothschild qui a piloté l’opération. Cette levée de fonds dans un secteur en pleine explosion, l’IA conversationelle, conforte d’Ornano+Co dans sa démarche visant à guider les investisseurs face aux nouveaux enjeux des entreprises en disruption. Elle illustre combien son expertise se révèle cruciale en détectant les critères de performance et contribuant à une meilleure valorisation pour ces entreprises.

La valeur ajoutée de d’Ornano +Co. a notamment résidé en la mise en valeur de la robustesse du revenu récurrent et la capacité du leader du Chatbot à être profitable à terme, la mise en valeur également du dynamisme du modèle économique SaaS de dydu, en prenant en compte les indicateurs clés du modèle SaaS tels que le LifeTime Value ou encore le CAC (coût d’acquisition client).

« Au travers de nos analyses, nous avons contribué à permettre une meilleure compréhension de la dynamique et récurrence du modèle économique de dydu » commente Nicolas Bayle, Associé chez d’Ornano + Co.

Un outil pour plus de performance

Alors que les enjeux des levées fonds sont de plus en plus importants, faire réaliser une VDD semble être une tendance en passe de s’imposer pour des sociétés à forte croissance. Ce véritable outil de prise de décision donne de l’assurance sur la construction du revenu récurrent (ARR) de ces entreprises. En contribuant à la levée de fonds au meilleur niveau de valorisation, la VDD se révèle cruciale.

« Nous nous félicitons de la confiance que nous a montré La Banque d’affaires Edmond de Rothschild en nous missionnant pour le VDD sur cette opération ambitieuse. Notre approche holistique et notre connaissance approfondie du secteur de la tech et, en particulier, des acteurs de la disruption, nous permet de valoriser au mieux des modèles économiques singuliers. » conclut Raphaelle d’Ornano, d’Ornano+Co.