Pourquoi cette deuxième journée du numérique est importante ?

Nous avons une vraie problématique sur le numérique parce que de nombreux confrères s’intéressent peu à cette question alors même qu’elle est particulièrement prégnante dans une époque où les échanges sont de plus en plus dématérialisés.

Par conséquent, il faut sensibiliser nos confrères et les accompagner dans la mesure où, par exemple, tout le monde peut faire l’objet d’une cyberattaque.

Quels seront les thèmes abordés ?

La journée comportera de nombreux ateliers pratiques sur la signature électronique, les ressources documentaires gratuites, la visibilité sur les réseaux sociaux, l’avocat du futur (blockchain, NFT, Metaverse), les legaltech, l’e-réputation ou encore comment référencer son site web.
De nombreux autres sujets seront abordés. Nous sommes ambitieux et souhaitons réfléchir à la justice numérique de demain, celle qu'on peut déjà entrevoir.

Qu’attendez-vous de cette journée ?

Cette journée doit pouvoir donner lieu à des échanges constructifs pour réfléchir davantage sur le numérique. Il faut aller plus loin que la dématérialisation des procédures et que nos confrères s’emparent plus des outils numériques alors que l’initiative privée est abondante.
Pour autant, c’est également important d’avoir des regards extérieurs.
Ainsi, les colloques du matin sont ouverts à d’autres professions.
Enfin, j’espère que des bonnes pratiques émergeront de ces échanges et que les avocats repartiront avec le sentiment qu’ils pourront notamment améliorer la sécurité de leur structure.

Propos recueillis par Arnaud Dumourier (@adumourier)