D’Ornano + Co. a accompagné Eurazeo Growth, BpiFrance et leurs co-investisseurs dans la levée de fonds de 90m€ de la scale-up Payfit.
PayFit, la startup française du Next 40 spécialiste du logiciel de gestion RH vient de lever 90 millions d’euros auprès d'Eurazeo Growth et Bpifrance. Les investisseurs ont confié la réalisation des due diligences à D’Ornano + Co., cabinet leader en Transaction Services. Cette nouvelle opération confirme l’expertise de D’Ornano + Co. dans l’accompagnement d’investisseurs dans leurs investissements dans des modèles disruptifs, et valide son approche holistique des due diligences.
Cette mission avait pour objectif d’évaluer la trajectoire financière de Payfit depuis sa première levée en juin 2019 pour laquelle D’Ornano + Co était déjà intervenu.
La valeur ajoutée du cabinet spécialiste des transactions services (TS) a consisté à démontrer la résilience du modèle de Payfit, sa performance globale, la récurrence de ses revenus (ARR) et d’autres métriques spécifiques aux modèles SaaS.
« Notre expérience des acteurs de la tech et des startups SaaS nous permet d’appréhender les métriques essentielles et ainsi de valider une valorisation de ces modèles » commente Victoria Meddah, Project Leader chez D’Ornano + Co..
La méthode holistique de D’Ornano + Co est une offre clé pour la valorisation des entreprises de la Tech dans un contexte où les enjeux des levées de fonds sont stratégiques. Avec cette nouvelle opération, D’Ornano + Co. démontre sa connaissance approfondie des modèles d’entreprises de disruption.
PayFit rejoint la liste des 12 autres entreprises conseillées par d’Ornano+Co. qui figurent au FrenchTech120 et au Next40 : ABTasty, Contentsquare, CybelAngel, iAdvize, Klaxoon, Luko, Lumapps, MadBox, Akeneo, PerfectStay, VestiaireCollective, Withings.
« Nous nous félicitons qu’Eurazeo Growth et BpiFrance Large Venture nous renouvèlent leur confiance pour cette deuxième mission pour PayFit. Cette opération renforce la pertinence de notre approche holistique qui permet une compréhension optimale des modèles économiques des acteurs de la disruption » se réjouit Raphaëlle d’Ornano.