M. X., marié en Algérie en 1971 avec Mme Y., y a épousé, en 1984, Mme Z. M. X. a signé seul en 2005 une promesse synallagmatique de vente, pour des lots d'une copropriété à Paris. Ayant refusé de passer l'acte authentique, les acheteurs l'ont assigné en vente forcé. Mme Z. a formé tierce opposition à l'arrêt qui avait constaté que la vente était parfaite. Dans un arrêt du 12 mars 2008, la cour d'appel de Paris a rejeté la tierce opposition de Mme Z. et l’a condamné avec son mari, au paiement d'une somme. La Cour de cassation rejette le pourvoi formé contre cet arrêt, le 8 juillet 2009. La Haute juridiction judiciaire précise que la cour d'appel a d'abord constaté que M. X. était mentionné sur l'extrait Kbis du registre du commerce, comme époux marié en Algérie avec Mme Y. en 1971 et qu'il (...)
Cas de refus de la tierce opposition d’une seconde épouse
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