Pour l’année fiscale clôturée au 30 juin 2018, le cabinet Baker McKenzie annonce un chiffre d’affaires record de 2,9 milliards de dollars.
Le cabinet d’avocats d’affaires international Baker McKenzie annonce un chiffre d’affaires global de 2,9 milliards de dollars pour l’année fiscale clôturée au 30 juin 2018. Ce résultat représente une hausse de 10% par rapport à l’exercice précédent à taux de change constant.
Baker McKenzie maintient sa position comme cabinet d’avocats d’affaires international bénéficiant de la meilleure répartition géographique de ses revenus : 26% en Asie-Pacifique, 39% en zone EMEA et 35% sur le continent américain.
"Nous avons mis au cœur de notre modèle la valeur ajoutée que nous apportons à nos clients et leur satisfaction : c’est la clé du succès de la firme, succès qui se mesure au niveau global, dans l’ensemble des zones géographiques dans lesquelles nous intervenons. Concrètement, cela se traduit par le développement de nos groupes d’industries et pratiques, ainsi que de nos programmes clients et collaborateurs. Ainsi, nos excellents résultats financiers sont le fruit des relations de long-terme que nous construisons avec nos clients, des relations basées sur la confiance, et qui nous permettent de fournir des services sur mesure et de qualité, de fidéliser ainsi nos clients et de continuer à investir afin de répondre toujours mieux à leurs besoins", déclare Paul Rawlinson, Président du Comité exécutif de Baker McKenzie.
L'innovation, clé de la stratégie de Baker McKenzie
Afin de renforcer cette performance et rendre ses services plus efficaces, Baker McKenzie s’est aussi engagé dans un programme digital majeur pour se saisir de toutes les opportunités offertes par les nouvelles technologies, avec l’objectif de réinventer le métier d’avocat.
"En effet, Baker McKenzie est le seul cabinet international qui offre à ses clients une véritable plateforme digitale intégrée. Ces initiatives innovantes dopent également les performances financières du cabinet : notre Global Service Center de Belfast, notre plateforme e-discovery et la mise en œuvre du legal project management représentent déjà plus de 50 millions de dollars de chiffre d’affaires annuel.", explique ainsi Paul Rawlinson.
Le bureau parisien de Baker McKenzie a lancé, en février 2018, le tout premier hackathon réalisé par un cabinet d'avocats d'affaires international, en collaboration avec l’école 42 et le studio d’innovation Schoolab. En juin, le cabinet a aussi annoncé le lancement d’une intelligence artificielle pour analyser l’évolution de la profession d’avocat. Cet assistant personnel, dénommé "Lancelaw", fournit chaque semaine aux avocats du cabinet à Paris une sélection d’actualités à la fois pertinentes et personnalisées sur l’évolution de la profession d’avocat et l’innovation. Reposant sur des techniques de machine learning et des "circuits neuronaux", il a été éduqué par des avocats du bureau parisien de Baker McKenzie pour apprendre à prioriser ses sources.
Eric Lasry, Managing Partner de Baker McKenzie à Paris, complète : "Les métiers du droit sont évidemment affectés par les nouvelles technologies, et notamment par l’intelligence artificielle. Depuis trois ans, au niveau global comme en France, le cabinet a démontré sa capacité à relever, dès aujourd’hui, les défis de demain en intégrant les technologies les plus récentes et en inscrivant l’innovation au cœur de sa stratégie."