La période de la rédaction du document ne pouvant être précisément délimitée, il ne pouvait être assimilé à un écrit fait sous forme testamentaire.
Mme Z. a demandé l'inhumation de son père, M. Z., dans le caveau familial en se prévalant d'un document non daté, rédigé par celui-ci manifestant sa volonté d'être inhumé avec ses fils.Dans un arrêt du 17 décembre 2007, la cour d'appel de Douai l'a déboutée de sa demande, estimant que les éléments tant intrinsèques qu'extrinsèques du document permettaient d'affirmer que sa date de rédaction était postérieure au 7 juillet 1958, mais qu'aucun élément de l'écrit ne permettait de confirmer qu'il avait été rédigé avant le départ de M. Z. du domicile conjugalLa Cour de cassation rejette le pourvoi de Mme Z., le 8 avril 2009. La Haute juridiction (...)