La décision de justice ordonnant la publication d’un correctif à un article de presse insinuant l’implication d’une responsable politique dans la disparition des avoirs du parti au pouvoir dans l'ancienne Allemagne de l'Est n’a pas porté atteinte à la liberté d’expression de la maison d’édition Axel Springer.
Un article publié dans l'édition du 4 octobre 2013 du quotidien allemand Die Welt, intitulé "La femme de la Stasi aux côtés de Gregor Gysi", concernait une responsable politique du parti politique Die Linke et ses liens avec le SED (Sozialistische Einheitspartei Deutschlands), le parti au pouvoir dans l'ancienne République démocratique allemande (RDA).L’avocat de l’intéressée a saisi le journal d’une demande amiable de réponse, que celui-ci a refusé de publier. Une cour d'appel a (...)